Une décision historique en 2025
En 2025, un pays européen a décidé de mettre fin au changement d’heure. Contrairement à la tradition européenne qui prévoit d’avancer ou de reculer ses horloges deux fois par an, ce pays a choisi de rester définitivement à l’heure d’Europe centrale. La mesure est entrée en vigueur en octobre 2024, afin d’éviter les ajustements saisonniers.
Ce choix marque une rupture avec la pratique en vigueur dans la majorité des pays européens, qui continue de pratiquer le passage à l’heure d’été et à l’heure d’hiver chaque année.
Les motivations derrière cette décision
Les autorités de ce pays ont évoqué plusieurs raisons pour justifier cette décision. La première concerne la santé publique. Des études montrent que le changement d’heure perturbe les rythmes biologiques des individus. Cela peut entraîner une baisse de la productivité et aggraver certaines maladies chroniques. Une députée a notamment souligné que les citoyens se sentent généralement moins bien après le changement d’heure, avec une diminution de leur capacité de travail et une aggravation de certains problèmes de santé.
Une autre motivation importante concerne la sécurité nationale. En raison du conflit avec la Russie, le pays souhaite renforcer sa stabilité en unifiant son fuseau horaire avec celui de Moscou. Cette harmonisation facilite la gestion des territoires occupés et la coordination nationale.
Un mouvement mondial contre le changement d’heure
Ce pays n’est pas le seul à avoir abandonné cette pratique. D’autres nations comme l’Islande, le Groenland, le Brésil ou encore l’Égypte ont également décidé de supprimer le changement d’heure. Elles le jugent inefficace et nuisible à la santé. En Europe, le Parlement avait voté en 2019 en faveur de la suppression, mais aucune mesure concrète n’a encore été mise en œuvre.
Les implications pour la région
La suppression du changement d’heure en Ukraine, par exemple, pourrait avoir des effets sur les échanges commerciaux et les transports avec ses voisins. Un fuseau horaire permanent pourrait compliquer la coordination des horaires de travail, des transports et des communications. Cependant, les autorités ukrainiennes estiment que les bénéfices pour la santé publique et la sécurité nationale surpassent ces inconvénients.





